Elle a la peau dorée douce comme la soie
Sucrée comme le miel de la fleur d’acacia
Parfumée de senteurs, d’étrangères essences
Qui apaisent les peurs et réveillent les sens
Calme comme un ruisseau qui dort au fond des bois
Pareille à ces cours d’eau, des contes d’autrefois
Paisible comme un château, endormi pour cent ansProtégé par les ronces de la pluie et du vent
Entre ciel et terre
A contre courant
Je la suivrai où qu’elle m’entraîne
Même jusqu’en enfer
Pour vendre à Satan
Mon âme pourvu qu’elle m’aime
Tous droits réservés Barba ludovic
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